Depuis quelques jours on marche sur les traces des Incas, de Cusco la capitale de l’Empire aux sites de la Vallée Sacrée. Nous avons hâte désormais de partir découvrir le Machu Picchu, à notre rythme, à pied, par le chemin des Incas.
Elise nous sert de guide, elle connait la vie des Incas par-cœur… grâce à Tea Stilton ! On vous conseille d’aller acheter « La cité secrète », destiné aux enfants qui pourront raconter à leur parents les origines et coutumes des Incas…
Du coup nous ouvrons une rubrique culturelle dans le blog avec quelques auteurs et artiste qui nous ont accompagnés pendant ce voyage…
samedi 29 mai 2010
jeudi 27 mai 2010
La Bolivie par Romane
Superficie: 1 098 000 km2 (deux fois la France)
Population: 10 000 000 habitants (6 fois moins qu’en France)
Pays frontaliers: Chili, Pérou, Brésil, Paraguay
Langues: Espagnol (et Quechua, Aymara)
Capitales: La Paz (siège du gouvernement) ; Sucre (capitale constitutionnelle)
Monnaie: Bolivianos (1Euro = 4 Bs)
Décalage horaire: 7h de moins qu’à Paris
Régime : démocratie présidentielle (Evo Morales)
En Bolivie l’habillement est très différent de la France. Les femmes ont des chapeaux trop petits posés sur leur tête, des jupes très rondes et amples avec des gros collants et un châle. Elles portent des couleurs très vives.
Les Boliviens mangent beaucoup de pommes de terre, on peut en trouver une centaine de sortes sur les marchés, des rondes, des carrés, des grandes, des violettes, des blanches…Souvent ils mangent de la soupe (au quinoa) et du poulet avec du riz et des pommes de terre.
On voit beaucoup de lamas en Bolivie, il y en a plusieurs sortes : le lama classique, l’alpaga qui est plus petit, et la vigogne qu’on ne peut pas domestiquer car elle est très sauvage.
La Bolivie est un pays très haut en altitude, souvent plus de 4000m ! Pour supporter l’altitude, les habitants cultivent et mâchent des feuilles de coca. Les mineurs en prennent aussi pour ne pas être fatigués. C’est une production très importante pour le pays, ils en exportent une grande quantité pour
fabriquer des médicaments ou faire du coca-cola, mais aussi illégalement pour la drogue.
Je vous ai raconté comment est la Bolivie. Maintenant vous connaissez tout sur Elle !
lundi 24 mai 2010
La Isla Bonita
Nous étions partis sur l'Isla del Sol à la recherche d'un disque solaire en or massif, que les Espagnols cherchèrent en vain pendant plus de deux siècles... nous n'y avons trouvé que tranquillité et sérénité. Quelle meilleure façon de quitter la Bolivie, ce pays que nous avons adoré pendant près de 3 semaines, avec ses paysages enchanteurs, ses chants sans chanteur, ses montagnes omniprésentes, sa population colorée, froide au premier abord mais si attachante quand on lui laisse un peu de temps et son passé Inca fascinant.
Notre dernière étape, le Pérou, nous ouvre maintenant les bras, avant de retrouver notre bonne vieille Europe dans presque 3 semaines...
Notre dernière étape, le Pérou, nous ouvre maintenant les bras, avant de retrouver notre bonne vieille Europe dans presque 3 semaines...
jeudi 20 mai 2010
Finies les vacances !
Quelques mots pour vous rassurer… oui, nous avons survécu à La Paz sans Fred ! C’est vraiment une ville étonnante, à flanc de montagnes, les maisons semblent tenir en équilibre précaire partout où le regard se pose… Quelques courses sur les marchés colorés où s’étalent et s’entassent des milliers de marchandises diverses, une journée à l’Alliance Française pour assouvir notre soif de lecture des magazines français, et une virée à la Vallée de la Lune avec Pascale et David… on en a bien profité ! Et mardi soir, énorme surprise vers 18h, Fred est apparu, une journée en avance, il a avalé le 6500m plus rapidement que prévu ! Non sans mal d’ailleurs, les conditions de vent et de froid étaient démentes, mais même bien fatigué il est rentré heureux et comblé par son tour dans les cimes… Donc, ça y est, nous sommes de nouveau réunis pour continuer le voyage vers le lac Titicaca et l’Isla del Sol ! Le compte à rebours a commencé et il nous reste encore tant de merveilles à découvrir sur la route vers le Pérou.
dimanche 16 mai 2010
Desperate Housewife !
Sajama, vous connaissez ?! Moi non plus... enfin jusqu'il y a quelques jours... Sajama, c'est la maîtresse de Fred pour les 4 jours à venir, et elle est dotée de sacrées atouts : 6500m, un cratère de grande envergure, de la neige à revendre au sommet, bref le plus haut sommet de Bolivie, un beau volcan qu'il a voulu affronter... On a donc un Week-End prolongé entre filles à La Paz, la capitale bolivienne, en attendant le retour de notre héros ! Remarquez, La Paz s'échelonnant de 3200 à 4000m on va avoir aussi de la marche à faire, puisque sans surprise notre programme s'articule autour des différents marchés du coin, priorité shopping - même si on commence déjà à se lasser de l'artisanat local, vite limité. Bref, quelques jours de vacances avant de repartir vers le lac Titicaca et la frontière péruvienne, en espérant que Fred survivra à ses nuits fraîches, très fraîches (-30° au sommet !), nous on préfère vivre cette fois l'expérience en images !
samedi 15 mai 2010
Le sel, par Romane
J’ai découvert que la Bolivie produisait du sel.
Je vais vous expliquer quelles sortes de sel on y trouve, comment il est exploité et où on le trouve (notamment dans le Salar d’Uyuni , ce désert de sel merveilleux).
Il y a plusieurs formes de sel: les pains de sel non traité pour les animaux, les gros blocs de sel pour fabriquer des maisons et aussi le sel pour les hommes. En Bolivie ils fabriquent du sel sous toutes ces formes là…
Pour fabriquer le sel humain les ouvriers suivent un process: on leur apporte des tas de sel qu’ils mettent à sécher au soleil par évaporation de l’eau. Après le sel passe dans un four pour qu’il devienne plus sec, qu’il se casse et donc devienne plus fin. Quand ils ont fini, ils moulent ce sel, ajoutent de l’iode (pour éviter des maladies), puis le mettent en sachets. Pour cela ils prennent un sachet, l’ouvre, y verse le sel puis ils brûlent l’ouverture avec un bout de fer chauffé qui fait fondre le plastique pour fermer le sachet. Ces ouvriers gagnent 0,80€ par tonne de sel et en produisent environ 36t par jour.
Le sel en Bolivie est principalement trouvé dans le Salar d’Uyuni, désert de sel. Il fait 12500km2. J’y suis allée, c’était merveilleux, une des plus belle chose que j’ai vue de ma vie. Il y a 33 îles sur ce désert.
Maintenant vous savez comment le sel est passé du Salar d’Uyuni en sachet pour que les hommes le mangent !
Je vais vous expliquer quelles sortes de sel on y trouve, comment il est exploité et où on le trouve (notamment dans le Salar d’Uyuni , ce désert de sel merveilleux).
Il y a plusieurs formes de sel: les pains de sel non traité pour les animaux, les gros blocs de sel pour fabriquer des maisons et aussi le sel pour les hommes. En Bolivie ils fabriquent du sel sous toutes ces formes là…
Pour fabriquer le sel humain les ouvriers suivent un process: on leur apporte des tas de sel qu’ils mettent à sécher au soleil par évaporation de l’eau. Après le sel passe dans un four pour qu’il devienne plus sec, qu’il se casse et donc devienne plus fin. Quand ils ont fini, ils moulent ce sel, ajoutent de l’iode (pour éviter des maladies), puis le mettent en sachets. Pour cela ils prennent un sachet, l’ouvre, y verse le sel puis ils brûlent l’ouverture avec un bout de fer chauffé qui fait fondre le plastique pour fermer le sachet. Ces ouvriers gagnent 0,80€ par tonne de sel et en produisent environ 36t par jour.
Le sel en Bolivie est principalement trouvé dans le Salar d’Uyuni, désert de sel. Il fait 12500km2. J’y suis allée, c’était merveilleux, une des plus belle chose que j’ai vue de ma vie. Il y a 33 îles sur ce désert.
Maintenant vous savez comment le sel est passé du Salar d’Uyuni en sachet pour que les hommes le mangent !
vendredi 14 mai 2010
Les Minerais, par Elise
Je suis rentrée pour la première fois dans une vraie mine. J’ai vu comment travaillaient les mineurs. Ils travaillent dans des conditions effroyables. Je vais vous raconter ce que m’a expliqué Sol (notre guide qui parlait français ; Sol veut dire Soleil) sur les mines.
Les gens qui travaillent dans les mines:
Dans la région de Potosi, il y a 10 000 mineurs. Ils commencent à travailler à 14 ans. Les femmes ne travaillent pas à l’intérieur des mines mais à l’extérieur, au tri des minerais.
Les mineurs sont protégés par le dieu « El Thios ». Ils lui offrent des feuilles de coca, de l’alcool à 96°, des cigarettes… Ils sont équipés de bottes parce qu’il y a de la boue, un casque avec une lampe, un pantalon épais, et une veste. Les mineurs meurent entre 40 et 50 ans à cause de maladies pulmonaires dues à la poussière, au salpêtre, à l’amiante…)
L’organisation du travail:
Le chef est son propre patron, il engage des assistants. Le chef doit trouver un filon que les assistants doivent casser avec un marteau en tapant sur un clou . Après ils emmènent le minerai dans un wagon de 2t tiré par 4 personnes. Puis, ils le mettent dans des sacs qui pèsent 250kg, remontés par une manivelle à mains. Enfin, un autre wagon vient chercher les minerais pour les ramener à l’extérieur de la mine pour être triés. Les mineurs travaillent 8h par jour. Le chef est payé en fonction de ce qu’il rapporte de la mine (300 à 500Bs par jour, soit 30 à 50€), mais il doit payer alors ses assistants, environ 50 à 100Bs par jour.
Comment et avec quoi ils travaillent:
Avant de partir pour la mine, on achète des présent pour les mineurs au marché des mineurs: des feuilles de coca ( qui servent de filtre ), des catalyseurs de coca, de l’alcool à 96°, de la dynamite avec une mèche pour la déclencher (détonateur). La dynamite peut être dangereuse mais elle sert à trouver et ouvrir de nouveaux chemins. Le chef suit la veine de la mine qui le mène ensuite à un filon.
Dans les mines de Potosi, on trouve de l’argent, du plomb, de l’étain et du zinc.
C’était très intéressant et important de voir maintenant les mines de Potosi car cela permet de comprendre les conditions de travail des mineurs ; peut-être que dans plusieurs années ils travailleront de façon plus moderne.
Les gens qui travaillent dans les mines:
Dans la région de Potosi, il y a 10 000 mineurs. Ils commencent à travailler à 14 ans. Les femmes ne travaillent pas à l’intérieur des mines mais à l’extérieur, au tri des minerais.
Les mineurs sont protégés par le dieu « El Thios ». Ils lui offrent des feuilles de coca, de l’alcool à 96°, des cigarettes… Ils sont équipés de bottes parce qu’il y a de la boue, un casque avec une lampe, un pantalon épais, et une veste. Les mineurs meurent entre 40 et 50 ans à cause de maladies pulmonaires dues à la poussière, au salpêtre, à l’amiante…)
L’organisation du travail:
Le chef est son propre patron, il engage des assistants. Le chef doit trouver un filon que les assistants doivent casser avec un marteau en tapant sur un clou . Après ils emmènent le minerai dans un wagon de 2t tiré par 4 personnes. Puis, ils le mettent dans des sacs qui pèsent 250kg, remontés par une manivelle à mains. Enfin, un autre wagon vient chercher les minerais pour les ramener à l’extérieur de la mine pour être triés. Les mineurs travaillent 8h par jour. Le chef est payé en fonction de ce qu’il rapporte de la mine (300 à 500Bs par jour, soit 30 à 50€), mais il doit payer alors ses assistants, environ 50 à 100Bs par jour.
Comment et avec quoi ils travaillent:
Avant de partir pour la mine, on achète des présent pour les mineurs au marché des mineurs: des feuilles de coca ( qui servent de filtre ), des catalyseurs de coca, de l’alcool à 96°, de la dynamite avec une mèche pour la déclencher (détonateur). La dynamite peut être dangereuse mais elle sert à trouver et ouvrir de nouveaux chemins. Le chef suit la veine de la mine qui le mène ensuite à un filon.
Dans les mines de Potosi, on trouve de l’argent, du plomb, de l’étain et du zinc.
C’était très intéressant et important de voir maintenant les mines de Potosi car cela permet de comprendre les conditions de travail des mineurs ; peut-être que dans plusieurs années ils travailleront de façon plus moderne.
jeudi 13 mai 2010
Incas… de conscience !!!
On y va ? On n’y va pas ?! Mais aller où d’ailleurs ?! Et bien dans les environs de Sucre, pour visiter les villages ethniques Jalqu’as et notamment emprunter « el camino prehispanico », ou chemin des Incas, de Chantaquila à Chaunaca… Seulement il y a un hic, ou plusieurs hics d‘ailleurs ! D’habitude, c’est simple, on prend un bus, on trouve le sentier, on marche, on trouve un autre bus pour rentrer et hop, le tour est joué. Cette fois le sort s’est acharné contre nous, à nous faire douter du bien-fondé de notre envie de ballade !
D’abord, on réalise que ce n’est pas un bus, mais plusieurs bus, puis un camion, qu’il faut prendre pour aller à Chantaquila, et que de Chaunaca, rien ne garantit le retour vers Sucre. Donc, prudents, on décide de s’adresser à une agence et de prendre un guide, après tout, rien n’est cher en Bolivie… Ce petit tour nous est proposé pour la modique somme de 150€, alors que le salaire moyen ici est en gros de 300€… par mois ! On décide donc de trouver un guide à l’Université du tourisme, les étudiants proposant leur service pour explorer la région. Mais là, pas de bol, l’Université est fermée pour la journée pour cause d’élection de leur Recteur et les étudiants sont dans les rues pour soutenir les différentes listes ! Le destin a l’air de se liguer contre nous ! On décide alors de trouver un taxi pour la journée entière pour lui expliquer avec nos 2 mots d’espagnol notre projet. Après une demi-heure d’essais infructueux, au moment d’abandonner, notre regard s’arrête sur un beau taxi bleu, une passagère en descendant (qui s‘avère être en fait sa femme), et on se précipite pour savoir si le chauffeur pourrait nous piloter le lendemain. En quelques minutes l’affaire est dans le sac, il est d’accord pour nous emmener, puis nous attendre à l’autre bout du sentier des Incas, et nous ramener…
Le lendemain, pile à l’heure, Raul nous emmène par la piste menant à Chantaquila. Mais là, nouvel obstacle imprévu : la route est fermée jusqu’à Midi pour cause de travaux… hors il est 9h30... ! Toujours pas démoralisé, on décide de partir en marchant, Raul nous récupèrera sur la piste quand il pourra passer. 2h30 plus loin sous le regard étonné des habitants de ce petit coin de montagne, on ressaute dans sa voiture, on trouve notre chemin des Incas, et enfin on démarre cette belle randonnée dans un paysage de rêve.
Mais le plus drôle est qu’au retour, on découvre qu’en fait Raul n’est pas du tout chauffeur de taxi mais routier en repos pour 3 jours. On ne comprend toujours pas pourquoi on a l’a abordé dans la rue alors qu’il n’y avait en fait même pas le mot Taxi sur sa voiture… bref, au final une journée géniale, loin de l’agitation de la ville, l’acharnement a payé !
D’abord, on réalise que ce n’est pas un bus, mais plusieurs bus, puis un camion, qu’il faut prendre pour aller à Chantaquila, et que de Chaunaca, rien ne garantit le retour vers Sucre. Donc, prudents, on décide de s’adresser à une agence et de prendre un guide, après tout, rien n’est cher en Bolivie… Ce petit tour nous est proposé pour la modique somme de 150€, alors que le salaire moyen ici est en gros de 300€… par mois ! On décide donc de trouver un guide à l’Université du tourisme, les étudiants proposant leur service pour explorer la région. Mais là, pas de bol, l’Université est fermée pour la journée pour cause d’élection de leur Recteur et les étudiants sont dans les rues pour soutenir les différentes listes ! Le destin a l’air de se liguer contre nous ! On décide alors de trouver un taxi pour la journée entière pour lui expliquer avec nos 2 mots d’espagnol notre projet. Après une demi-heure d’essais infructueux, au moment d’abandonner, notre regard s’arrête sur un beau taxi bleu, une passagère en descendant (qui s‘avère être en fait sa femme), et on se précipite pour savoir si le chauffeur pourrait nous piloter le lendemain. En quelques minutes l’affaire est dans le sac, il est d’accord pour nous emmener, puis nous attendre à l’autre bout du sentier des Incas, et nous ramener…
Le lendemain, pile à l’heure, Raul nous emmène par la piste menant à Chantaquila. Mais là, nouvel obstacle imprévu : la route est fermée jusqu’à Midi pour cause de travaux… hors il est 9h30... ! Toujours pas démoralisé, on décide de partir en marchant, Raul nous récupèrera sur la piste quand il pourra passer. 2h30 plus loin sous le regard étonné des habitants de ce petit coin de montagne, on ressaute dans sa voiture, on trouve notre chemin des Incas, et enfin on démarre cette belle randonnée dans un paysage de rêve.
Mais le plus drôle est qu’au retour, on découvre qu’en fait Raul n’est pas du tout chauffeur de taxi mais routier en repos pour 3 jours. On ne comprend toujours pas pourquoi on a l’a abordé dans la rue alors qu’il n’y avait en fait même pas le mot Taxi sur sa voiture… bref, au final une journée géniale, loin de l’agitation de la ville, l’acharnement a payé !
Résultat de notre dernière enquête !
Vous avez plébiscité un retour différé de 3 mois (58% des votes), cela nous aurait bien tenté, nous avons un véritable coup de cœur pour cette très belle Amérique du Sud ! Mais les impératifs scolaires et notre forte envie de vous retrouver nous rappellent en France. Et puis il faut bien se laisser des rêves inachevés de voyages pour le futur, ça tombe bien, nous en avons plus qu’avant de partir !
La prochaine enquête tourne autour de notre futur : à M-1 de notre retour, nous voulons savoir comment vous nous voyez dans les prochains mois…
La prochaine enquête tourne autour de notre futur : à M-1 de notre retour, nous voulons savoir comment vous nous voyez dans les prochains mois…
samedi 8 mai 2010
Salar Uyunique !
On a vécu de grands moments ces derniers jours, un concentré d’exceptionnel…
D’abord, retour au Nord Chili pour profiter de San Pedro de Atacama, petit village touristique au sein d’un des déserts les plus arides du monde. Et là, surprise, une journée de pluie, avec tempêtes de neige sur les sommets, rarissime dans ce désert ! Cela nous a permis de voir un coucher de soleil grandiose sur la Vallée de la Lune, éclairé par 2 arcs en ciel mais le vent glacial a restreint nos envies de baignade dans la Laguna Cejas (sauf la courageuse Elise !), un concentré de sel normalement à plus de 30°…
Toutes les routes et les frontières ont été bloquées 3 jours à cause de la neige, il faut dire que nous sommes entourés par des sommets à plus de 6000m ! Nous avons donc du annuler notre excursion pour les Geysers El Tatio et anticiper notre départ vers le Sud Lipez et le Salar d’Uyuni, en croisant les doigts pour la météo (les chambres sont sans chauffage et les nuits polaires…) et l’acclimatation des filles aux passages de col à plus de 5000m… C‘était le bon choix, récompensé par 3 jours fabuleux, sous un soleil de rêve, dans une des plus belles régions du monde. Impossible de décrire la beauté, la richesse et la diversité des paysages traversés. Ne manquez pas les photos de ce Sud bolivien, enchantement et dépaysement garanti.
D’abord, retour au Nord Chili pour profiter de San Pedro de Atacama, petit village touristique au sein d’un des déserts les plus arides du monde. Et là, surprise, une journée de pluie, avec tempêtes de neige sur les sommets, rarissime dans ce désert ! Cela nous a permis de voir un coucher de soleil grandiose sur la Vallée de la Lune, éclairé par 2 arcs en ciel mais le vent glacial a restreint nos envies de baignade dans la Laguna Cejas (sauf la courageuse Elise !), un concentré de sel normalement à plus de 30°…
Toutes les routes et les frontières ont été bloquées 3 jours à cause de la neige, il faut dire que nous sommes entourés par des sommets à plus de 6000m ! Nous avons donc du annuler notre excursion pour les Geysers El Tatio et anticiper notre départ vers le Sud Lipez et le Salar d’Uyuni, en croisant les doigts pour la météo (les chambres sont sans chauffage et les nuits polaires…) et l’acclimatation des filles aux passages de col à plus de 5000m… C‘était le bon choix, récompensé par 3 jours fabuleux, sous un soleil de rêve, dans une des plus belles régions du monde. Impossible de décrire la beauté, la richesse et la diversité des paysages traversés. Ne manquez pas les photos de ce Sud bolivien, enchantement et dépaysement garanti.
lundi 3 mai 2010
F’Elise Compleaño !
Elise a eu 11 ans lundi dernier, Bon Anniversaire !!! Elle est la dernière de nous 5 à fêter son anniversaire pendant notre voyage. Michel un cuisinier toulousain de San Pedro lui a préparé une belle surprise, un énorme gâteau au chocolat avec 11 bougies ! Malo et Eole, les deux petits copains français avec qui on a passé quelques jours, étaient de la fête, bien sympa ce 11 ans chilien ;-)
L'Argentine par Elise - Le jour de son Anniversaire !!!
Population: 40 millions d’habitant.
Superficie: 2 791 810 km2 soit plus de 5 fois de la France.
Densité: 14 Habitant/ km2 (8 fois moins que la France).
Capitale: Buenos Aires.
Religion: catholique à plus de 92%.
Monnaie: peso Argentin (1euro = 5 pesos ($) Argentin)
Langue officielle: Espagnol.
Sport nationaux: LE FOOT!!!!! Et le rugby.
Décalage horaire: 5h par rapport à la France.
En Argentine la viande est très bonne. Les animaux mangent une herbe particulière. La meilleur viande est le « bife de Chorizo et le bife de Lomo ». La viande est moins chère que les fruits et les légumes. On mange aussi des glaces succulentes.
On a vu beaucoup de glaciers en Argentine. Il y a le Périto Morino, un glacier qui avance de 2m par jour. Mais le Pie 11, lui, avance de 8m par jour, impressionnant !!!!!!!!!!!!!
Les chutes d’eau d’Iguazu sont aussi très belles… Elles sont parmi les plus grandes du monde!!!! Moi, je n’imaginais pas ça, je les imaginais 10 fois plus petites.
J’ai aussi adoré Bariloche pour ses fondues, ses glaces et ses chocolats.
Il y a beaucoup d’animaux en Argentine: le condor (il peut mesurer jusqu’à 3m d’envergure et pèse 11 à 15 kg ) le guanaco, le lama, la vigogne qui ne peut pas se domestiquer (c‘est une espèce de lama plus fin et qui ressemble à une biche), les suri (petite autruche), le nandu, les ânes…
ELISE
Superficie: 2 791 810 km2 soit plus de 5 fois de la France.
Densité: 14 Habitant/ km2 (8 fois moins que la France).
Capitale: Buenos Aires.
Religion: catholique à plus de 92%.
Monnaie: peso Argentin (1euro = 5 pesos ($) Argentin)
Langue officielle: Espagnol.
Sport nationaux: LE FOOT!!!!! Et le rugby.
Décalage horaire: 5h par rapport à la France.
En Argentine la viande est très bonne. Les animaux mangent une herbe particulière. La meilleur viande est le « bife de Chorizo et le bife de Lomo ». La viande est moins chère que les fruits et les légumes. On mange aussi des glaces succulentes.
On a vu beaucoup de glaciers en Argentine. Il y a le Périto Morino, un glacier qui avance de 2m par jour. Mais le Pie 11, lui, avance de 8m par jour, impressionnant !!!!!!!!!!!!!
Les chutes d’eau d’Iguazu sont aussi très belles… Elles sont parmi les plus grandes du monde!!!! Moi, je n’imaginais pas ça, je les imaginais 10 fois plus petites.
J’ai aussi adoré Bariloche pour ses fondues, ses glaces et ses chocolats.
Il y a beaucoup d’animaux en Argentine: le condor (il peut mesurer jusqu’à 3m d’envergure et pèse 11 à 15 kg ) le guanaco, le lama, la vigogne qui ne peut pas se domestiquer (c‘est une espèce de lama plus fin et qui ressemble à une biche), les suri (petite autruche), le nandu, les ânes…
ELISE
dimanche 2 mai 2010
Festins et vins argentins !
4 semaines au total en Argentine, des ambiances et des paysages si différents dans tout le pays, il faut dire qu’avec une étendue de 5 fois la France sur 4000 km nord-sud, ce n’est pas étonnant d’avoir une telle diversité… Mais on y a aussi redécouvert le plaisir de manger, les Argentins étant les champions du cholestérol ! Parrilladas (barbecues) de folie dans tout le pays (les Argentins consomment 70kg de viande par personne par an), fondues en montagne, chocolat, glaces (pas une rue sans un marchand de glace avec des dizaines de parfum au choix), empenadas (petits chaussons fourrés à la viande ou au fromage) … on ne peut pas dire qu’on mange léger !!! Sans oublier d’arroser le tout des vins de Mendoza ou de Cafayate, bref, après tout cela indispensable de marcher ou boire du maté, leur thé censé chasser le mauvais cholestérol. En plus, il est très difficile de manger des légumes, quasi absents des étals de supermarché, bref pourquoi manger sain quand on peut se faire plaisir à tous les coins de rue ?! En tout cas, on a pris des forces avant d’attaquer la Bolivie où le régime riz/pomme de terre va nous faire regretter toutes ces bonnes choses dégustées pendant un mois !
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